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06
NOV
2014

L’enseignement juif et l’enfant handicapé

by admin_ozarhatorah
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«L’enseignement juif et l’enfant handicapé»

Par Pénina Bitton / Responsable enseignement Kodesh Filles à ozar Hatorah.

Extrait
L ‘enfant handicapé est pour le judaïsme  une personne à part entière,  d’un point de vue purement spirituel : il a une âme, et même une âme d’une grande pureté puisqu’on a tendance dans nos sociétés à juger un homme en fonction de ses capacités. Le judaïsme est un système qui a  placé la valeur d’un être humain non pas au plan de ses résultats, donc au plan de son pouvoir, mais au plan du sens qu’il avait à l’intérieur d’une Histoire.

Chaque être humain est créé avec une volonté divine dans une finalité spécifique, c’est-à-dire  que chacun est porteur d’un message. Dès lors, lorsqu’un enfant naît, quel que soit son handicap, il est doué de ce message, ce qui signifie:

  • que sa vie a un sens par rapport à lui-même 
  • que sa vie à lui a une signification par rapport au monde qui l’entoure.

Document à télécharger: 

l’enseignement juif et l’enfant handicapé

 

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La notion d’Handicap et

Le soutien pédagogique et Psychologique selon les sources de la tradition juive

Cours donné dans le cadre de L’IECJ à l’université d’Aix en Provence en 2002

  1. Données historiques, définitions et problématique

L’univers scolaire qui accueille les enfants depuis la maternelle est de plus en plus  confronté à la difficulté d’intégrer des enfants présentant un handicap.

La notion de handicap a, depuis une vingtaine d’années, fait l’objet d’âpres controverses qui ne sont pas encore éteintes. Le point de départ a été la publication par l’Organisation mondiale de la santé, en 1980 (traduction française en 1988 par l’INSERM), d’un projet expérimental de Classification des handicaps (CIH) élaboré par un groupe de travail, initialement animé par André Grossiord et Philip. Wood.

Auparavant, ce sujet ne passionnait guère et l’on avait même accepté de voter une loi française, à l’unanimité, le 30 juin 1975, destinée à permettre aux personnes handicapées d’avoir une vie meilleure, sans définir précisément pour qui cette loi était faite.

Seuls quelques isolés, ont introduit la notion de « situation de handicap », s’aventurant  sur les chemins tortueux, accidentés et anticonformistes d’une exploration de « l’Homme handicapé ».

Deux courants se sont nettement individualisés :

  • le courant « médical » qui définit le handicap, comme la conséquence d’un état pathologique (maladie ou accident),
  • le courant « anthropologique » et, plus globalement, social, qui considère que le handicap est la résultante de la confrontation d’un être humain avec ses capacités et de son environnement avec ses exigences.

Au total, ceci peut se résumer de la façon suivante :

1-C’est la lésion (ou déficience) corporelle pathologique qui rend les personnes handicapées.

2-Ce sont, la société et le cadre de vie qui créent les situations de handicap.

1-La société et ses exclus

On peut résumer la position de la société vis-à-vis de ses exclus à travers deux citations de personnages : « Toutes les sociétés fabriquent leurs exclus. La différence réside dans le sort qui leur est réservé » Xavier Emmanuelli, « Dernier avertissement avant la fin du monde »  « L’inadaptation sociale s’accroît comme une lèpre ; aucune classe sociale, aucun âge ne sont indemnes » René Lenoir, « Les exclus ».

2- Les racines culturelles de l’exclusion

Elles trouvent leurs origines dans des représentations qui marquent profondément les comportements et qui entretiennent les mécanismes de l’exclusion jusqu’à maintenant.

  • Celle des corps infirmes (« infirmus » : faibles qui a aussi donné infirmière)
  • Celle des corps stigmatisés  et impurs. L’impureté du corps est rattachée, à celle de l’âme. Ceci explique que les corps perçus comme « anormaux », déviants sont éliminés socialement ou même « physiquement » : exclusions des infirmes et des lépreux dans la Bible, exterminations des personnes handicapées par les nazis qui ont « testé » sur elles les premiers fours crématoires avec la collaboration active de médecins totalement dévoyés. C’est aussi
  • Celle des corps déformés et monstrueux (du latin « monstrare », montrer). Ils ont fasciné les médecins
  • Celle des corps souillés et déshonorés. Cette notion de souillure est fondamentale. Elle est très bien exprimée par l’anthropologue britannique Mary Douglas : «  le corps est le miroir de la société, la crainte de la souillure est un système de protection symbolique de l’ordre culturel » (« Purity and danger » traduit, en français, par « La souillure »). Cette atteinte appelle réparation, c’est-à-dire vengeance pour rétablir l’équilibre social. : «  L’atteinte à l’intégrité corporelle a de tout temps constitué le dommage suprême dont la punition devait être à la hauteur du trouble social et du préjudice individuel causés
  • Celles des corps socialement exclus, inutiles et « morts à la société ».
  • Celle des corps pauvres et assistés par la charité ou la solidarité.

Tous ces aspects de la considération, par la société des corps vécus comme différents ont un point commun : la discrimination

II. Tentatives de remédiation:

Les mentalités évoluent  Handicap est un mot, être handicapé est une réalité. Les professionnels soucieux de la dignité humaine  proposent alors  une autre présentation du handicap (Système d’identification et de mesure du handicap, SIMH) dans laquelle les deux éléments fondamentaux sont : les situations de la vie qui conditionnent le handicap et la subjectivité (ou point de vue de la personne) qui conditionne sa façon de réagir face à son état corporel, fonctionnel et situationnel.

Cette approche se veut universelle, simple, complète et éthique (ne dévalorisant pas la personne). Elle repositionne la notion de personne face à la société et à la santé. Elle introduit une démarche en santé qui dépasse le seul handicap puisqu’elle est utilisable également pour aborder la douleur ou les soins palliatifs.

1-Notion de Réadaptation

« C’est l’ensemble des moyens médicaux, psychologiques et sociaux qui permettent à une personne en situation de handicap, ou menacée de l’être, du fait d’une ou plusieurs limitations fonctionnelles de mener une existence aussi autonome que possible. »

1-2-La Réadaptation sociale fait appel à un ensemble de moyens qui permettent le maintien ou la reprise de la vie quotidienne, familiale, d’études ou de travail. Le succès de la démarche de santé repose sur une excellente articulation médico-sociale entre le système de soins et la vie sociale. Les nouveaux textes sur le système hospitalier et médico-social ont brisé la barrière existant depuis 1975 entre les deux aspects de la prise en charge de la personne. Les habitudes et le « principe de cloisonnement «  font que ce ne sera pas facile à appliquer.

1-3-La Réadaptation communautaire  met l’accent sur la participation du milieu de vie (famille, voisins, employés communaux etc…). elle trouve son adaptation en Europe avec l’implication de l’environnement (solidarité de voisinage dans l’usage de la télé vigilance par exemple) mais aussi de la mobilisation de la ville, de l’école et du monde du travail autour de la notion de participation des personnes handicapées.

2-Autonomie et dépendance

2-1-Autonomie vient de « otos nomos », grec, « se gouverner soi-même ». Il signifie que la personne peut décider de réaliser elle-même, avec ou sans la dépendance, une fonction ou de faire face à une situation

2-2-Dépendance vient du latin « dependere » (« être suspendu à »), elle peut être technique ou humaine (« tierce personne »), fonctionnelle (pour une fonction, par exemple porter des lunettes quand on a une myopie) ou situationnelle (par exemple disposer d’une rampe d’accès à 5% au maximum si on est paraplégique)

Autonomie et dépendance ne s’opposent pas, au contraire : grâce à la dépendance, on acquiert l’autonomie (« Il n’y a pas d’autonomie sans dépendance », Edgar Morin).

2-3-La compensation est tout à fait à l’ordre du jour (« droit à la compensation »). Avec les nouveaux textes sur l’aide à l’autonomie, elle concerne toutes les aides humaines ou techniques ainsi que les compensations financières nécessaires pour « l’égalité des chances » pour « l’inclusion », ou intégration / insertion et pour le principe de non-discrimination.

Une nouvelle vision positive de la santé, la différence entre maladie et handicap.

Ainsi se profile une nouvelle définition positive de la santé, basée sur la notion de « bien-être », « Etat physique et mental relativement exempt de gênes et de souffrances qui permet à l’individu de fonctionner aussi longtemps que possible dans le milieu où le hasard ou le choix l’ont placé ». Elle se rapproche beaucoup de celle de l’autonomie, (avec ou sans dépendance) qui est la finalité de la réadaptation médicale et sociale. On peut ainsi différencier

L’approche de la maladie :

signes —> diagnostic —>traitement—>guérison avec ou sans séquelles

Et celle du handicap :

Handicap —> Réadaptation —> Autonomie avec ou sans dépendance

Etre en bonne santé, c’est aussi ne pas être et ne pas s’imaginer être en situation de handicap. Ainsi la notion d’absence de situation de handicap, objective et subjective, se substitue à la notion trop vague de « qualité de vie » et se superpose à celle de « bien-être ».

III. Regard juif sur l’Handicap

Partant de la question  qu’est-ce que l’homme  ?? ???? ?? ?????? ??? ??? ?? ?????? ? la conception de la Torah nous achemine vers une définition qui voit l’homme composé d’un corps et d’une âme. L’âme est le noyau et le corps n’est qu’une enveloppe extérieure terrestre. L’âme en elle-même est composée de mille facettes, la capacité de créer, de comprendre l’autre, de sentir et de vouloir etc.

Cette multitude de capacités repose sur une certaine unité interne profonde – l’âme, qui est une émanation divine, insufflée en nous et nous sommes devenus des êtres vivants.

Il y a donc un lien étroit et profond entre le créateur et les créatures.

Dans la Torah, nous distinguons :
  • les déficiences physiques  (aveugle, sourd-muet, boiteux…)
  • Les déficiences mentales
  • Les déficiences morales (le lépreux, toutes les maladies de l’âme)  que Rambam traite dans les premiers chapitres de son commentaire sur les « Maximes de nos pères », plus connues sous le nom de huit chapitres ainsi que dans les premiers chapitres de ????? ????  .

Le principe de base général que pose le Rambam dans le domaine de la santé morale est « que l’âme peut être en bonne santé ou malade, tout comme le corps. Le malade d’esprit selon la thèse de Rambam, est une personne qui souffre de déviations morales, à savoir qu’il s’est écarté du modèle parfait de l’homme juif. Ceux dont l’âme est perturbée c’est-à-dire les hommes méchants et vicieux, se représentent le mal comme étant le bien et bien comme étant le mal (chap. 3 Huit chapitres).

  • Les déficiences mentales (le fou  ????)

L’handicap physique et mental  sont l’affaire du Créateur en revanche dans le domaine moral, il revient à l’homme de se prendre en main.

D’ailleurs Rambam conclut son exposé sur les maladies de l’esprit avec l’exhortation de ne jamais abandonner la voie moyenne, et ne pas pencher vers les extrêmes.

De même que l’homme sait éviter les dangers qui peuvent provoquer des dommages physiques à ses membres de même une personne visant la perfection se doit « constamment d’examiner ses mœurs, peser ses actions et considérer attentivement chaque jour la disposition de son âme…..il examinera sans cesse l défaut dont il est atteint et s’efforcera de le corriger puisqu’il est impossible que l’homme soit exempt de défauts » Huit chapitres Chap. IV

Il clôt le propos  en soulignant que la guérison des âmes  à savoir l’amélioration des MIDOT n’est pas un but en soi  mais elle vise à aider l’homme à atteindre son vrai but dans le monde : Celui de se rapprocher de D. et de Sa connaissance.

 

«L’enseignement juif et l’enfant handicapé»

L ‘enfant handicapé est pour le judaïsme  une personne à part entière,  d’un point de vue purement spirituel : il a une âme, et même une âme d’une grande pureté puisqu’on a tendance dans nos sociétés à juger un homme en fonction de ses capacités. Le judaïsme est un système qui a  placé la valeur d’un être humain non pas au plan de ses résultats, donc au plan de son pouvoir, mais au plan du sens qu’il avait à l’intérieur d’une Histoire.

Chaque être humain est créé avec une volonté divine dans une finalité spécifique, c’est-à-dire  que chacun est porteur d’un message. Dès lors, lorsqu’un enfant naît, quel que soit son handicap, il est doué de ce message, ce qui signifie:

  • que sa vie a un sens par rapport à lui-même ;
  • que sa vie à lui a une signification par rapport au monde qui l’entoure.

Le sens qui lui est spécifique est celui qui consiste  à se réaliser pleinement. Dieu ne juge jamais un homme autrement qu’en fonction de ses propres capacités. Le principe de base, c’est que chacun  est appelé à donner ce qu’il a de meilleur. On constate par exemple que ces enfants présentant une déficience mentale et/ou physique ont une approche extrêmement pure des choses, innocente et profonde à la fois. La perversité est absente de leurs actes et de leur pensée, et on constate que ces êtres sont souvent marqués par un sourire, un sourire que beaucoup interprètent comme une niaiserie ou une dispersion, mais qui en fait donne dans la vie une capacité à surmonter ses propres problèmes.
Un enfant handicapé est surtout diminué non par ce qu’il l’est, mais par la place que les autres lui donnent. II est trop souvent mis de côté. II est à part... C’est pour cela qu’il est important de lui donner les conditions de sa propre réussite. II aura alors réalisé le maximum de ce qui est possible pour lui.
Quand à l’approche du handicapé par rapport au monde qui l’entoure, chaque être humain est porteur d’un enseignement. Cet enfant peut apporter autour de lui un nouveau sens à la vie :

  • D’abord le sens de l’épreuve. II est vrai que, pour les parents, c’est une épreuve par les soins que va exiger cet enfant, épreuve par le sentiment de frustration que cela va entraîner par rapport aux autres enfants et au monde en général.
  • Ensuite un sens naturel de la vie, la vie que souvent les adultes compliquent

 

L’ attitude de tout être humain  à son égard doit d’abord consister à lui donner notre affection, et à recevoir la sienne. Tout être humain a droit à l’accession au Royaume des Cieux dès lors qu’il n’a pas fait preuve d’une cruauté hors du commun qui le rabaisserait au rang de l’animal. C’est le cas de cet enfant. Il a donc sa place, hors de la dimension charitable.  C’est une interpellation fondamentale sur notre propre façon de vivre. Peu d’êtres humains sont capables d’aller à l’essentiel et ce type d’enfant permet à ceux qui les approchent d’accéder à l’essentiel.

L’enseignant dont la charge est d’accompagner cet enfant dans son évolution, devra apprendre à connaître la nature profonde de cette âme qui lui est confiée pour assurer les soins correspondants.

La déficience physique apparaît clairement dans la Torah avec Moché, l’handicap de Moché n’invalide pas l’homme dans la réalisation de sa mission car il est voulu par D  (Exode IV , 10).

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En revanche en tant que Maître par excellence, D… ne laisse pas Moché seul dans la gestion de l’épreuve, il lui assure le soutien et lui   fournit des « béquilles »  en la personne d’Aharon.  Hachem ne guérit pas miraculeusement Moché en lui octroyant une capacité oratoire et rhétorique, il dépendra des capacités de Moché avec le potentiel qui est le sien, de se réaliser

Que la déficience soit physique, mentale ou morale, la dignité humaine reste une valeur suprême, ainsi qu’il est consigné dans le traité talmudique Brakhot 19b où le respect de l’autre passe avant les lois énoncées par le Sanhédrin.

L’approche de la personnalité de l’enfant, de sa sensibilité, de sa capacité à comprendre est par conséquent indispensable aux éducateurs. Il est écrit à propos de ???? à l’égard de son fils Binyamin (Bér.44/30) « et son âme est attachée à la sienne » Nous apprenons ici un élément indispensable dans le domaine de l’éducation : l’éducateur doit avant tout s’attacher à l’enfant et s’appliquer à suivre son évolution intellectuelle propre. RAMBAM ajoute (hilkhot âvodat kokhavim ch.1/hal.3) : ainsi s’est conduit Avraham à l’égard des gens de sa maison et de ses hôtes : chacun selon son caractère et son état d’esprit, afin de toucher en lui la fibre sensible qui éveillera son intérêt.

Il faut analyser les besoins des enfants déficients et déterminer la nature de la déficience afin d’être en mesure  d’apporter l’aide adaptée. Il serait intéressant de se pencher sur les dispositifs élaborés par les équipes israéliennes en éducation spécialisée, notamment au niveau des programmes scolaires pour les matières juives.

Textes de la Tradition pouvant éclairer notre thème :

Midrach Shemot Rabba relatif au don de la Torah, Traité Taanit 20 ab  21a, Kidouchin 29a, Jérémie chapitre 31

 

 

 

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